Les mauvaises nouvelles ne doivent pas masquerles bonnes. "Notre monde s'améliore", explique le journaliste Nicolas Chateauneuf. "Premier exemple, l'espérance de vie. Dans les pays pauvres, l'espérance de vie a gagné neuf ans depuis 1990. C'est énorme. La raison ? Les progrès médicaux et les soins apportés aux jeunes enfants. Autre raison d'espérer, la faim dans le monde recule. Elle recule de manière spectaculaire. En 1990, 25% de la population mondiale souffrait de la faim. Ce chiffre est descendu à 12 %. C'est toujours trop, mais moitié moins", poursuit Nicolas Chateauneuf.La scolarisation augmente"Autre exemple : la scolarisation. Dans les pays pauvres, ils étaient 83% à avoir accès à l'école primaire en 1999. Ils sont 90% aujourd'hui", précise le journaliste. "Le nombre de pays qui connaissent des élections libres est aussi en augmentation. Cela s'explique entre autres par la chute du mur de Berlin. Il y a donc des raisons d'espérer pour 2015", conclut Nicolas Chateauneuf.