Proximité, rencontres, immersion. Chaque jeudi, Elise Lucet présente "Envoyé spécial" sur le terrain, au contact de celles et ceux qui participent aux reportages. Autour d’elle, des citoyens, les invités, les acteurs majeurs des dossiers traités et les reporters qui donnent leur nom à l’émission et partagent avec les téléspectateurs les coulisses de leurs enquêtes.Au sommaire"Le choix d'Envoyé spécial"Coronavirus : une ville sous tensionLa France est bouleversée par le coronavirus et les mesures inédites prises par Emmanuel Macron. Mulhouse, avec ses 110 000 habitants, est l’une des premières villes impactées par l’épidémie. "Envoyé spécial" a partagé le quotidien de l’hôpital saturé, de familles confinées, de chefs d’entreprise au bord de la faillite. Entre mobilisation et inquiétude, c’est toute une vie qui se réorganise.Un reportage de Raphaële Schapira, Pierre Monégier, Perrine Bonnet et Laura Aguirre de Carcer."L'enquête".La viande… sans viande !D’Israël aux Etats-Unis, "Envoyé spécial" est allé goûter ce que des chercheurs et des industriels appellent "la viande alternative" : bacon, nuggets, burgers à base de protéines végétales. Et même, faux-filet fabriqué à partir de vraies cellules de bœuf… cultivées en laboratoire ! Avec une promesse : une viande plus saine, sans antibiotiques, sans hormones de croissance, sans émission de gaz à effet de serre et sans souffrance animale. Rêve pour écologistes ? Révolution alimentaire ? C’est surtout un marché gigantesque qui aiguise les appétits de l’industrie et de milliardaires, comme Bill Gates ou Leonardo DiCaprio. Une enquête d'Olivier Sibille, Guillaume Beaufils, Mathieu Birden et Harold Horoks. "L'envoyée spéciale"Les oubliés de Kaboul> Grand Prix du FIGRA 2020 (catégorie "moins de 40 minutes").Ils s’appellent Ashraf, Adib ou Basir. Ils sont afghans et, pendant des mois, ils ont travaillé auprès des soldats français, parfois sur le front, au risque de leur vie. La France a recruté plus de 800 travailleurs afghans pendant son déploiement en Afghanistan : des interprètes, des magasiniers, des ouvriers… Pour cela, ils sont aujourd’hui menacés de mort par les talibans. Les troupes françaises, elles, se sont retirées. Tous se battent désormais pour obtenir un visa. Mais les procédures sont longues, complexes, souvent vouées à l’échec : ils accusent l’armée de les avoir abandonnés. Pourquoi la France n'accueille-t-elle pas les Afghans qui ont travaillé pour elle ?Un reportage de Laura Aguirre de Carcer, Alexis Jacquet, David Da Meda, James de Caupenne, Régis Mathé et Nils Montel.La rédaction d'"Envoyé spécial" vous invite à commenter l'émission sur sa page Facebook ou sur Twitter avec le hashtag #EnvoyéSpécial.