Envoyé spécial du jeudi 23 octobre 2014
Pour des raisons de droits, cette émission n'est plus disponible.
Nos journalistes ont enquêté sur le business des faux abonnés sur les réseaux sociaux. Hommes politiques, people, grandes marques, tous veulent plus de "followers" et de "fans", quitte à avoir recours à des revendeurs de comptes fantômes pour booster leur réputation.
Nos reporters ont aussi pris l'avion pour une destination de rêve, les Maldives. Cocotiers, sable fin, mer émeraude. Cet archipel reste l'une des destinations les plus prisées des touristes. Mais loin des hôtels de luxe, la réalité est bien plus crue. Depuis le mois d'avril, la peine de mort a été réinstaurée, même pour les mineurs dès l'âge de 7 ans. Les libertés fondamentales sont menacées dans un archipel qui cache bien son jeu.
Pour des raisons de droits, cette émission n'est plus disponible.
Manip sur le net
De nos jours, la célébrité se joue en un clic. La toile regorge d’inconnus qui publient leurs vidéos amateurs afin de se faire remarquer du grand public et espérer rejoindre le groupe très sélect des Youtubeurs aux millions de vues. Mais ce compte de fée 2.0 cache aussi de nombreuses arnaques. Hommes politiques, stars de la chanson ou de la télé, grandes marques, professionnels de la communication, beaucoup sont prêts à recourir à l'achat de fans pour booster leur e-réputation. Mais à ce petit jeu, nos journalistes ont compris qu'il fallait faire très attention à ne pas se faire prendre...
Maldives : la charia au paradis
Aux Maldives, loin des plages paradisiaques où affluent les touristes, l’Islam est la religion d’Etat. Conformément à la charia, depuis le mois d’avril, la peine de mort pour les enfants a été réinstaurée. Celle-ci concerne notamment les mineurs dès l’âge de 7 ans. Nos journalistes ont recueilli le témoignage de maldiviens en colère. Entre confiscation de la liberté d’expression, augmentation des violences contre les femmes et les homosexuels et assassinats d’imams modérés, les Maldives sont aujourd'hui une République de la terreur.Et du paradis à l’enfer, il n’y a qu’un pas.
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