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Adolescent tué à Nanterre : comment l’exécutif tente d’éviter l’embrasement

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Adolescent tué à Nanterre : comment l’exécutif tente d’éviter l’embrasement
Article rédigé par France 2 - J.Wittenberg, C.Motte, J.Assouly, H.Capelli, S.Guibout, N.Berthier, V.Vermot-Gaud B.Geron, A.Da Silva
France Télévisions
Deux jours après la mort de Nahel, l’exécutif redoute une troisième nuit de violences. Toutefois, le gouvernement se refuse à déclencher l’état d’urgence, réclamé par la droite.

Ce n’est pas l’état d’urgence, mais déjà une réunion décidée en urgence qui s’est tenue jeudi 29 juin au matin. Le conseil de crise a été réuni par Emmanuel Macron au lendemain de nombreuses violences perpétrées dans la nuit. La France n’avait pas connu telle nuit depuis 2005, le spectre que redoute le gouvernement. De son côté, Éric Ciotti recommande d’instaurer l’état d’urgence. Élisabeth Borne et Gérald Darmanin ont, quant à eux, multiplier les visites sur les lieux les plus touchés. La Première ministre a refermé, pour l’instant, le débat.

Des consignes données aux policiers ?

Un appel au calme a été lancé par l’exécutif. Par ailleurs, des directives ont été données aux policiers, selon les informations de France Télévisions. Ils ne doivent pas faire usage, sauf cas extrême, de LBD et pas faire de contrôle d’identité. Ces informations ont été démenties par le ministre de l’Intérieur.

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