Cet article date de plus d'un an.

Vendée : immersion parmi les saisonniers du château de Talmont-Saint-Hilaire

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 6min
Vendée : immersion parmi les saisonniers du château de Talmont-Saint-Hilaire
Article rédigé par France 2 - M.Justet, J.Jonas, L.Rouvray, R.Luques
France Télévisions
Les équipes de France 2 vous emmènent cette semaine à la rencontre des animateurs de l’été. Mardi 1er août, elles se rendent à la découverte des saisonniers pas comme les autres, les fauconniers comme à l’époque médiévale.

Durant tout l’été, ils sont applaudis par tous les vacanciers. Fauconniers, chevaliers, ce sont des saisonniers un peu particuliers qui rythment la vie du château de Talmont-Saint-Hilaire (Vendée). Pour chacun, le travail commence avant l’ouverture au public. Tessa Balan entame sa première saison cette année en Vendée. Il faut avant tout commencer par la pesée du faucon, "pour savoir s’ils peuvent voler au spectacle". Avant d’ouvrir les portes, c’est d’abord la pause-café, dernier moment de quiétude de la journée pour la fauconnière et les trente autres saisonniers. "On est tous un peu amis", précise une autre saisonnière.

Les chevaliers en piste

Puis, il faut se préparer avant l’entrée sur scène. "Il y a toujours la pointe sur le cœur avant de se lancer", affirme Tessa Balan. Une fois sur scène, les présentations s’enchaînent, avec un sans-faute. Mais les surprises existent, un des faucons s’est envolé durant le spectacle. "C’est une question de temps. Ce sont les conditions de vol, donc il a mis un peu de temps à remonter", note Grégory Claria, fauconnier.

De l’autre côté du château, ce sont les cavaliers qui vont entrer en piste. Avant le spectacle, il faut faire répéter les chevaux, les équiper. "Ils ont tendance à anticiper. Il faut être vigilant pour qu’ils ne fassent pas les actions avant", explique un chevalier. Les spectateurs sont, eux, conquis. Le public est l’une des motivations des saisonniers, "pour avoir cette réaction-là".

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.