Corrèze : ces artisans et travailleurs qui font battre le cœur du département

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Corrèze : ces artisans et travailleurs qui font battre le cœur du département
Article rédigé par France 2 - P-L. Monnier, O. Labalette, M. Dumas, E. Noël, images drone : F. Cordier
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Cette semaine, France Télévisions pose ses caméras en Corrèze. Elles suivront le quotidien d’un jeune éleveur très prometteur, d’une institutrice, du sauveur d’une corderie traditionnelle, de la patronne d’un café et d’une femme à la tête d’une agence matrimoniale.

Direction Curemonte, en Corrèze, pour la réouverture exceptionnelle du Plaisance, fermé depuis dix ans. La patronne, Karine Terrieux-Rougier, 53 ans, est une enfant du pays. Avec son mari, Fabrice, 50 ans, ils cherchent un repreneur. "À 10 ans, j’étais en plonge. J’y passais mes week-ends, parce que si je voulais voir mes parents, ils étaient au restaurant", raconte-t-elle. 

À une heure de son restaurant se trouve la ferme de la famille d’Aubin Gouny, 21 ans, "installé depuis mars 2023"La famille compte des éleveurs de père en fils depuis cinq générations. Le jeune homme débute en pleine crise agricole. "C’est ici qu’on est né, qu’on a toujours vécu. On ne se voit pas partir ailleurs", confie-t-il. Son père, 46 ans, est très fier mais garde l’exigence du travail bien fait. 

Fabrication de cordes depuis 1908

Direction ensuite un bâtiment près de Brive (Corrèze), où l’on fabrique des cordes depuis 1908. Stéphane Assolari, le patron, est un Franc-comtois d’origine, Corrézien d’adoption. Il dit avoir eu "un coup de cœur pour le lieu" et le "savoir-faire". En 2018, il a investi toutes ses économies pour tenter de sauver la corderie, qui aujourd’hui se porte mieux.

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