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Rencontres de Saint-Denis : "Nous avons beaucoup de choses à dire au président de la République", affirme Léon Deffontaines (PCF)

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Vendredi 17 novembre, le Parti communiste participera aux rencontres de Saint-Denis. Présent sur le plateau du 19/20 info, Léon Deffontaines, la tête de liste du Parti communiste aux élections européennes, revient sur les attentes du PCF.
Rencontres de Saint-Denis : "Nous avons beaucoup de choses à dire au président de la République", affirme Léon Deffontaines, tête de liste du Parti communiste aux élections européennes Vendredi 17 novembre, le Parti communiste participera aux rencontres de Saint-Denis. Présent sur le plateau du 19/20 info, Léon Deffontaines, la tête de liste du Parti communiste aux élections européennes, revient sur les attentes du PCF. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - S.Chironi
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Vendredi 17 novembre, le Parti communiste participera aux rencontres de Saint-Denis. Présent sur le plateau du 19/20 info, Léon Deffontaines, la tête de liste du Parti communiste aux élections européennes, revient sur les attentes du PCF.

Une partie des oppositions ont décidé de boycotter les rencontres de Saint-Denis, qui se tiendront vendredi 17 novembre. Léon Deffontaines, la tête de liste du Parti communiste aux élections européennes, a confirmé la présence de Fabien Roussel. Interrogé sur la présence du PCF, il répond : "Nous ne nous défilons pas face à nos responsabilités. Nous avons beaucoup de choses à dire au président de la République. Je vois deux sujets majeurs : la question géopolitique, notamment le conflit israélo-palestinien (…), et le coût de la vie."

Sur ce dernier point, Léon Deffontaines détaille : "On a la pauvreté qui a bondi d’un point. On a un taux de chômage qui de nouveau augmente. J’ose croire que le président de la République va revoir sa copie et nous permettra de parler de ces sujets-là."

Une situation "insupportable" à Gaza

Concernant l’opération militaire de Tsahal dans l’hôpital Al-Shifa à Gaza, le candidat aux européennes condamne "le fait que depuis l’invasion de Gaza, on a 22 hôpitaux sur 36 qui sont ne fonctionnent plus parce qu’il y a eu des bombardements qui ont été orchestrés". Selon lui, le quotidien à Gaza est rythmé "par des bombardements incessants contre des populations civiles qui essayent de se soigner tant bien que mal". Léon Deffontaines juge que "cette situation est insupportable" et rejoint la position de l’ONU en demandant un "cessez-le-feu".

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