Saint-Valentin : l’indémodable slow

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À la mode jusque dans les années 80, le slow est aujourd’hui toujours vivant, même s’il compte moins d’adeptes. À l’approche de la Saint-Valentin, mercredi 14 février, certains se laissent tout de même tenter.
Saint-Valentin : l’indémodable slow À la mode jusque dans les années 80, le slow est aujourd’hui toujours vivant, même s’il compte moins d’adeptes. À l’approche de la Saint-Valentin, mercredi 14 février, certains se laissent tout de même tenter. (Franceinfo)
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À la mode jusque dans les années 80, le slow est aujourd’hui toujours vivant, même s’il compte moins d’adeptes. À l’approche de la Saint-Valentin, mercredi 14 février, certains se laissent tout de même tenter.

À Strasbourg (Bas-Rhin), tous les ans à l’approche de la Saint-Valentin, c’est "slow party" : deux heures de corps-à-corps, et une playlist irrésistible, entre Whitney Houston et Scorpions. "Il suffit de se laisser porter par la musique, par l’émotion, et se laisser aller", confie un amateur. Le slow est l’unique danse de couple qui ne demande aucune technique.

Arrivé en France dans les années 50

 

Arrivé en France à la fin des années 50, il devient rapidement incontournable dans les bals et les surprises-parties. Il s’invite ensuite dans toutes les fêtes, dans les campings, les boîtes de nuit et les boums. En 1980, Vladimir Cosma compose le tube des émois adolescents, la musique du film La Boum. "Quand j’ai composé cette musique, je n’avais jamais composé un slow de ma vie (…) et j’ai composé le thème comme une belle mélodie d’une symphonie classique", explique ce dernier. Depuis la fin des années 90, le slow a beaucoup moins la cote. Il reste heureusement la Saint-Valentin pour en profiter un peu.

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