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Tempête Ciaran : "Pour l’instant, on est sur un phénomène qui va surtout impacter le littoral", explique un spécialiste de la prévention des catastrophes naturelles

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Le 12/13 info reçoit, mardi 31 octobre, Gaël Musquet, spécialiste de la prévention des catastrophes naturelles. Il vient parler des prévisions concernant la tempête Ciaran, avant qu'elle ne frappe les côtes de l’Atlantique.
Tempête Ciaran : "Pour l’instant, on est sur un phénomène qui va surtout impacter le littoral", explique un spécialiste Le 12/13 info reçoit, mardi 31 octobre, Gaël Musquet, spécialiste de la prévention des catastrophes naturelles. Il vient parler des prévisions concernant la tempête Ciaran, avant qu'elle ne frappe les côtes de l’Atlantique. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - C.Gascard
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Le 12/13 info reçoit, mardi 31 octobre, Gaël Musquet, spécialiste de la prévention des catastrophes naturelles. Il vient parler des prévisions concernant la tempête Ciaran, avant qu'elle ne frappe les côtes de l’Atlantique.

Le Finistère, le Morbihan et les Côtes-d’Armor sont placés en vigilance orange aux vents à partir du mercredi 1er novembre, en raison de la tempête Ciaran. Interrogé sur la signification de cette vigilance orange, Gaël Musquet explique que "c’est un état dans lequel les services de l’État mettent les territoires". "Cela concerne à la fois les citoyens pour qu’ils puissent être attentifs et vigilants - là, on est sur du vent -, et en même temps pour que les collectivités puissent s’organiser. C'est la mise en sécurité de matériels de chantier, des grues, des collectivités qui doivent fermer des parcs", précise le spécialiste de la prévention des catastrophes naturelles dans le 12/13 info, mardi 31 octobre.

À quoi s'attendre par rapport à 1999 ?

Interrogé sur ce qui est prévu par rapport à la tempête de 1999, qui avait ravagé une partie de la France, Gaël Musquet soutient "qu’il faut attendre en fonction des évolutions sur le territoire". "À l’époque, elle s’était beaucoup développée dans les terres. Pour l’instant, on est sur un phénomène, d'après les modèles, qui va surtout impacter le littoral. (…) Les prochains résultats des différents modèles restent tributaires des observations sur les territoires, qui vont permettre d’affiner les conséquences à l’intérieur des terres", conclut-il.

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