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Guerre entre le Hamas et Israël : Tsahal affirme avoir libéré une jeune soldate retenue en otage

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Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
L'armée israélienne indique avoir libéré une jeune soldate retenue en otage par le Hamas à Gaza, durant la nuit du dimanche 29 au lundi 30 octobre. Les services de renseignement de l'État hébreu se hâtent pour retrouver les autres otages.
Guerre entre le Hamas et Israël : Tsahal affirme avoir libéré une jeune soldate retenue en otage L'armée israélienne indique avoir libéré une jeune soldate retenue en otage par le Hamas à Gaza, durant la nuit du dimanche 29 au lundi 30 octobre. Les services de renseignement de l'État hébreu se hâtent pour retrouver les autres otages. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - D.Olliéric
France Télévisions
L'armée israélienne indique avoir libéré une jeune soldate retenue en otage par le Hamas à Gaza, durant la nuit du dimanche 29 au lundi 30 octobre. Les services de renseignement de l'État hébreu se hâtent pour retrouver les autres otages.

L'armée israélienne affirme avoir libéré une jeune soldate retenue en otage par le Hamas à Gaza, durant la nuit du dimanche 29 au lundi 30 octobre. Trois femmes que l'on voit sur des images tournées par le Hamas sont toujours aux mains du mouvement islamiste palestinien. Dans le contexte de l'offensive terrestre, chaque jour, des proches des personnes kidnappées se retrouvent. La meilleure amie d'une jeune fille a été enlevée à moto par les combattants du Hamas en même temps que son fiancé.

Les services de renseignement se pressent

Dans l'ombre, des militaires des services de renseignement s'activent, comme ceux de l'unité 82-00. Ils étudient les vidéos des otages et traitent toutes les informations récoltées par des agents infiltrés. Les Israéliens larguent des milliers de tracts au-dessus de Gaza. Les messages visent à faire parler ceux qui ne soutiennent pas le Hamas, en échange de protection et d'argent. Le Hamas affirme que 50 otages ont été tués dans les frappes menées par Tsahal"Un chiffre absolument impossible à vérifier, tant il est un outil de propagande", précise la journaliste Dorothée Olliéric.

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