Grève des contrôleurs SNCF : les vacanciers trouvent des alternatives au train
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Une interne en chirurgie devait prendre le train pour Angers (Maine-et-Loire), vendredi 16 février, mais son trajet a été annulé en raison des grèves. Elle s'est rabattue sur le covoiturage. "Je perds plus de temps, mais c'est plus fiable au niveau de l'heure d'arrivée", indique Sixtine Regnard. Une autre passagère, dont le train a été supprimé, n'a pas trouvé de covoiturage facilement. "Ils ont tous été pris d'assaut", explique Camille Hery, psychothérapeute en formation.
Une augmentation des réservations de bus
Les demandes de covoiturage ont doublé depuis l'annonce des grèves. "Ce week-end, la capacité qu'on a, c'est l'équivalent de 150 TGV qui vont rouler", affirme Nicolas Michoux, porte-parole de Blablacar. Du côté des bus, la gare routière de Bercy (Paris) enregistre une augmentation de 15% des réservations par rapport à la normale. Ceux qui n'ont pas le choix doivent se rabattre sur la voiture. Samedi 17 février est classé rouge sur les routes par Bison futé, notamment en Auvergne-Rhône-Alpes.
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