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Vacances : la plate-forme Airbnb divise

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Vacances : la plate-forme Airbnb divise
Article rédigé par France 3 - C.De La Guérivière
France Télévisions
Désormais, des parlementaires veulent encadrer les locations Airbnb touristiques. Ils souhaitent exclure notamment les meublés de tourisme ou encore rabaisser de 120 à 90 le nombre de nuitées autorisées par an, pour la résidence principale. Le point sur le plateau du 12/13 avec Cécile De La Guérivière.

Les parlementaires veulent mettre de l’ordre, la plate-forme Airbnb divise. "Airbnb, Booking ou encore Abritel, ces locations saisonnières font le bonheur des touristes de passage, mais créent aussi beaucoup de nuisances pour le voisinage : bruit d’ascenseur à minuit passé, valises qui tapent contre les murs, discussions sans gêne dans les parties communes, erreurs d’interphones, de portes dans les couloirs, fêtes, voire même prostitution dans certaines logements", détaille Cécile De La Guérivière, jeudi 4 mai, sur le plateau du 12/13. 

Certaines communes ont pris des mesures

Un autre souci majeur, c’est que ces locations temporaires nuisent au marché de l’immobilier classique. "Car ces locations saisonnières sont beaucoup plus rentables", ajoute la journaliste. Certaines communes n’ont pas attendu pour prendre des mesures. "Par exemple, dans celle du Val-d’Europe, à proximité de Disneyland Paris, la première destination touristique d’Europe, l’agglomération a décidé, en juillet dernier, de limiter à 2% le nombre de meublés touristiques dans le centre urbain, et à 1% dans le reste de l’agglomération", rapporte Cécile De La Guérivière. 

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