Santé : les urgences toujours pas désengorgées
![Santé : les urgences toujours pas désengorgées](https://www.francetvinfo.fr/pictures/m8D_WWRjLG3BjRN3JNzIenI7mDk/71x0:711x360/432x243/2022/12/28/63ac25585fcf9_sante-les-urgences-toujours-pas-desengorgees.png)
![](https://www.francetvinfo.fr/pictures/wACgV-3pBFDf_r4OnxFsTyavAB4/100x100/2023/07/05/64a55fd777de4_placeholder-36b69ec8.png)
Des brancards sont alignés dans le couloir des urgences de Nancy (Meurthe-et-Moselle). Avec 150 patients dans la journée, le service est débordé et cela a encore empiré, lundi 26 décembre. En pleine période de fêtes, le service enregistre 20% de patients supplémentaires. "C’est un peu tendu parce qu'effectivement, ça fait beaucoup de patients, beaucoup de charge de travail et c'est compliqué", explique Sébastien Fauvel, aide-soignant aux urgences. La situation est la même à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). La salle d'attente des urgences ne désemplit pas. Alors, dans les centres d'appels d'urgence du SAMU, des médecins à la retraite viennent prêter main forte.
L'épidémie de grippe toujours à son pic
Les centres médicaux de soins immédiats restent une alternative, comme pour une mère de famille rencontrée à Châtellerault (Vienne). "Le cabinet n'a pas pu nous recevoir donc on m'a redirigée ici. C’était ça ou les urgences", explique-t-elle. Mais le centre ne parvient plus non plus à répondre aux demandes. La semaine s'annonce compliquée pour les malades, alors que le pic épidémique de la grippe n'est pas encore passé.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.