Discours de politique générale : la présidente du groupe écologiste à l'Assemblée regrette que l'écologie soit "une très grande absente"

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Invitée du 19/20 info, mardi 30 janvier, Cyrielle Chatelain, députée NUPES de l'Isère et présidente du groupe écologiste, revient sur le discours de politique générale du Premier ministre Gabriel Attal.
Discours de politique générale : la présidente du groupe écologiste à l'Assemblée, Cyrielle Chatelain, regrette que l'écologie soit "une très grande absente" Invitée du 19/20 info, mardi 30 janvier, Cyrielle Chatelain, députée NUPES de l'Isère et présidente du groupe écologiste, revient sur le discours de politique générale du Premier ministre Gabriel Attal. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - S.Chironi
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Invitée du 19/20 info, mardi 30 janvier, Cyrielle Chatelain, députée NUPES de l'Isère et présidente du groupe écologiste, revient sur le discours de politique générale du Premier ministre Gabriel Attal.

Après le discours de politique générale du Premier ministre Gabriel Attal, mardi 30 janvier à l'Assemblée nationale, la présidente du groupe écologiste et députée NUPES de l'Isère, Cyrielle Chatelain fustige dans le 19/20 info un "discours rétrograde sur un certain nombre de mesures, notamment l'éducation". Selon elle, il y a "une très grande absente" dans ce discours :"l'écologie""Il en a parlé un peu, et il a annoncé très peu de mesures concrètes", déplore Cyrielle Chatelain.

Du "flou" sur l'agriculture

Revenant sur les annonces faites par le Premier ministre en réponse au mouvement de contestation des agriculteurs, Cyrielle Chatelain indique : "Ce que j'ai vu, c'est du flou." Si le Premier ministre a déjà fait savoir auparavant l'opposition de la France au traité de libre-échange Mercosur, et a indiqué mardi que ce sujet serait abordé par la France lors d'un sommet européen jeudi, la députée NUPES de l'Isère évoque par ailleurs le sort du "traité de libre-échange avec la Nouvelle-Zélande". "La question, ce sont les engagements sur l'ensemble des traités de libre-échange et sur une concurrence déloyale que subissent aujourd'hui les agriculteurs, face à une agriculture de moindre qualité qui vient et pour les agriculteurs et pour les consommateurs"abonde la présidente du groupe écologiste à l'Assemblée nationale.

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