Discours de politique générale : pour la députée LFI Raquel Garrido, Gabriel Attal s'est adressé "aux personnes qui vont choisir le candidat à la présidentielle de 2027 dans l'oligarchie"

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Raquel Garrido, députée La France insoumise (LFI) de Seine-Saint-Denis, est l'invitée du 19/20 info, mardi 30 janvier. Elle réagit au discours de politique générale prononcé par le Premier ministre Gabriel Attal à l'Assemblée nationale.
Discours de politique générale : pour la députée LFI Raquel Garrido, Gabriel Attal s'est adressé "aux personnes qui vont choisir le candidat à la présidentielle de 2027 dans l'oligarchie" Raquel Garrido, députée La France insoumise (LFI) de Seine-Saint-Denis, est l'invitée du 19/20 info, mardi 30 janvier. Elle réagit au discours de politique générale prononcé par le Premier ministre Gabriel Attal à l'Assemblée nationale. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - S.Chironi, G.Bornstein
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Raquel Garrido, députée La France insoumise (LFI) de Seine-Saint-Denis, est l'invitée du 19/20 info, mardi 30 janvier. Elle réagit au discours de politique générale prononcé par le Premier ministre Gabriel Attal à l'Assemblée nationale.

Présente lors de la déclaration de politique générale de Gabriel Attal à l'Assemblée nationale, mardi 30 janvier, Raquel Garrido juge dans le 19/20 info que ce discours a été "très à droite". Affirmant qu'"il n'y a pas de demande en France pour que le gouvernement soit plus ultralibéral", la députée La France insoumise (LFI) de Seine-Saint-Denis estime que le Premier ministre s'est adressé lors de ce discours "aux personnes qui vont choisir le candidat à la présidentielle de 2027 dans l'oligarchie". Elle note que Gabriel Attal n'a pas prononcé le mot "école publique" et évoque également l'assouplissement de la loi SRU.

"Un casting devant le CAC 40"

"Je pense que chez les macronistes, chez les gens de puissance, d'argent, ça se passe comme ça. Ils pensent qu'on est choisi comme candidat par le CAC 40 en gros, et que donc à un moment donné, on passe un casting devant le CAC 40. Je pense que c'est ça qu'a fait Gabriel Attal ce soir", poursuit Raquel Garrido, dénonçant "un mépris pour l'Assemblée, pour la citoyenneté et un mépris de la démocratie".

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