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Ultradroite : la dissolution de groupuscules "rend plus compliqué" le suivi des individus, estime le porte-parole d'un syndicat policier

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Division Martel : "Lorsqu’il y a une dissolution de ces groupuscules, ça rend plus compliqué de suivre les individus", estime Mathieu Vallet, porte-parole du syndicat indépendant des commissaires de police
Division Martel : "Lorsqu’il y a une dissolution de ces groupuscules, ça rend plus compliqué de suivre les individus", estime Mathieu Vallet, porte-parole du syndicat indépendant des commissaires de police Division Martel : "Lorsqu’il y a une dissolution de ces groupuscules, ça rend plus compliqué de suivre les individus", estime Mathieu Vallet, porte-parole du syndicat indépendant des commissaires de police (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - S.Chironi
France Télévisions
Mathieu Vallet, porte-parole du syndicat indépendant des commissaires de police, est présent sur le plateau du 19/20 info, mercredi 6 décembre, pour réagir à la dissolution du groupuscule d’ultradroite Division Martel.

Mercredi 6 décembre au matin, la dissolution du groupuscule d’ultradroite Division Martel a été prononcée en Conseil des ministres. Mathieu Vallet, porte-parole du syndicat indépendant des commissaires de police, est sur le plateau du 19/20 info pour réagir à cette actualité. "Dès qu’on est ultra, ce n’est jamais bon pour la démocratie. Dès qu’on est ultra, c’est la violence, (…) c’est le chaos", indique-t-il.

Une reconstitution inévitable ?

Mathieu Vallet rappelle que ces groupuscules "se structurent, de fait, par des groupements, une organisation et des têtes identifiées". Lorsque ces organisations "sont dissoutes par décret en Conseil des ministres, derrière, elles peuvent se reconstituer", reconnaît Mathieu Valet. "C’est la raison pour laquelle, lorsqu’il y a une dissolution de ces groupuscules, ça rend plus compliqué de suivre les individus un par un", conclut-il.

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