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Libération d'otages français par le Hamas : "C'est un soulagement", affirme un membre du bureau exécutif du Crif

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Jérémie Haddad, membre du bureau exécutif du Crif, était l’invité du 19/20 info, lundi 27 novembre. Il est revenu sur la libération de trois otages français, Erez et Sarah Kalderon, ainsi qu'Eithan Yahalomi.
Guerre entre le Hamas et Israël : la libération de trois otages français "est un soulagement", affirme un membre du bureau exécutif du Crif Jérémie Haddad, membre du bureau exécutif du Crif, était l’invité du 19/20 info, lundi 27 novembre. Il est revenu sur la libération de trois otages français, Erez et Sarah Kalderon, ainsi qu'Eithan Yahalomi. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - B. Klein
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Jérémie Haddad, membre du bureau exécutif du Crif, était l’invité du 19/20 info, lundi 27 novembre. Il est revenu sur la libération de trois otages français, Erez et Sarah Kalderon, ainsi qu'Eithan Yahalomi.

Pour la première fois, trois Français sont annoncés dans la liste de libération des otages, lundi 27 novembre. "C’est un soulagement. Ce sont des familles que l’on connaît bien. (…) Les deux Kalderon, Erez et Sarah, plus un troisième otage, Eithan Yahalomi, vont sortir. Ce sont des Français qui ont de la famille en France. (…) On a toujours beaucoup fait pour essayer de les faire sortir", indique Jérémie Haddad, membre du bureau exécutif du Crif.

"Un jeu psychologique du Hamas"

Il précise que les familles des otages "ne diront rien tant que les choses ne sont pas faites". "On voit bien que rien n’est fait. Il y a encore eu un jeu psychologique du Hamas ces derniers jours", assure Jérémie Haddad. Selon lui, une fois que les otages seront libérés, ces familles "seront certes soulagées", mais "elles continueront à pleurer leurs proches", et notamment la grand-mère de la famille Kalderon.Interrogé sur la libération des autres otages binationaux, le membre du bureau exécutif répond : "On voit bien qu’il y a une volonté en Israël de privilégier les otages aujourd’hui. Il y a une vraie pression de la société civile israélienne sur le gouvernement pour poursuivre la trêve, si elle permet de libérer des otages."

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