Colère des agriculteurs : l'ancien ministre de l'Agriculture Stéphane Travert estime qu'il va falloir "accélérer le tempo" dans les réponses apportées

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Colère des agriculteurs : l'ancien ministre de l'Agriculture Stéphane Travert estime qu'il va falloir "accélérer le tempo" dans les réponses apportées
Colère des agriculteurs : l'ancien ministre de l'Agriculture Stéphane Travert estime qu'il va falloir "accélérer le tempo" dans les réponses apportées Colère des agriculteurs : l'ancien ministre de l'Agriculture Stéphane Travert estime qu'il va falloir "accélérer le tempo" dans les réponses apportées (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - E.Tran Nguyen
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Stéphane Travert, député Renaissance de la Manche et ancien ministre de l'Agriculture sous le gouvernement d'Édouard Philippe, est l'invité du 12/13 info, mercredi 31 janvier. Il revient sur le mouvement de colère des agriculteurs.

Mercredi 31 janvier, au lendemain du discours de politique générale de Gabriel Attal, Stéphane Travert, député Renaissance de la Manche, indique dans le 12/13 info : "Avec beaucoup de mes collègues parlementaires, nous avons trouvé un Premier ministre qui porte une ambition, une énergie." Revenant sur le mouvement de colère des agriculteurs, l'ancien ministre de l'Agriculture sous le gouvernement d'Édouard Philippe ajoute : "Je pense que les premières solutions, les premières réponses, vont arriver dans les prochains jours." "Les premières propositions ont été portées par le Premier ministre la semaine dernière", rappelle-t-il.

"Faire en sorte que tout le monde puisse retourner à sa tâche"

Toujours sur les réponses apportées par l'exécutif aux agriculteurs, Stéphane Travert estime qu'"à un moment ou un autre, il va falloir qu'on puisse à la fois accélérer le tempo, et puis faire en sorte que tout le monde puisse retourner à sa tâche, notamment dans les exploitations". "Le Premier ministre est allé tout de suite, dès sa nomination, sur les premiers barrages. Il a apporté des solutions d'urgence. Maintenant, c'est comment nous mettons en œuvre ces solutions d'urgence", poursuit-il.

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