Epreuves de contrôle continu pour le bac : "Très peu" de perturbations, estime le directeur général de l'enseignement scolaire
Edouard Geffray a fait le point sur franceinfo à la mi-journée sur les perturbations en cours dans le pays pour les premières épreuves du bac.
De nombreux élèves n'ont pas pu passer lundi 20 janvier les premières épreuves de contrôle continu comptant pour la note finale du baccalauréat. Des appels au boycott ont été lancés contre ces épreuves très décriées. Dans certains lycées, Rennes, Bordeaux, Nancy, notamment les épreuves ont été annulées ou perturbées. Philippe Vincent, secrétaire général du SNPDEN (syndicat des chefs d'établissement), a reconnu sur franceinfo que "le timing était extrêmement serré".
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"Très peu" d'établissements sont perturbés, a assuré lundi sur franceinfo Edouard Geffray, directeur général de l'enseignement scolaire. "On a plusieurs centaines d'établissements qui étaient en épreuve aujourd'hui et on est sur quatre, cinq endroits où il y a des reports", a -t-il poursuivi.
Les annulations ou reports "sont dus à des comportements qui sont inadmissibles. Il y a des personnes, souvent étrangères aux établissements, qui ont voulu empêcher l'entrée des élèves ou d'autres qui sont venus perturber avec des alarmes à incendie."
Les élèves n'ayant pas pu passer leurs épreuves "les repasseront dans les temps voulus", a assuré Edouard Geffray. "Ils ont un mois et demi pour les passer. Cela se fera au niveau de chaque établissement et avec beaucoup de sérénité."
Lorsque les enseignants n'étaient pas présents pour surveiller les épreuves, les établissements ont eu recours à d'autres personnels. Une pratique "classique", a assurée Edouard Geffray.
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