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Harcèlement scolaire : "Nous, associations, nous n'avons pas été concertées, il n'y a pas eu d'échanges", regrette Hugo Martinez, président de l'association Hugo!

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À l'occasion de la semaine de lutte contre le harcèlement scolaire, Hugo Martinez, président de l'association Hugo!, est l'invité du 12/13 info, mardi 7 novembre. Le jeune homme regrette que les associations n'aient pas été consultées par le gouvernement pour établir le plan interministériel.
Harcèlement scolaire : "Nous, associations, nous n'avons pas été concertées, il n'y a pas eu d'échanges", regrette Hugo Martinez, président de l'association Hugo! À l'occasion de la semaine de lutte contre le harcèlement scolaire, Hugo Martinez, président de l'association Hugo!, est l'invité du 12/13 info, mardi 7 novembre. Le jeune homme regrette que les associations n'aient pas été consultées par le gouvernement pour établir le plan interministériel. (Franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - E.Tran NGuyen
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À l'occasion de la semaine de lutte contre le harcèlement scolaire, Hugo Martinez, président de l'association Hugo!, est l'invité du 12/13 info, mardi 7 novembre. Le jeune homme regrette que les associations n'aient pas été consultées par le gouvernement pour établir le plan interministériel.

"Ce que je regrette plus globalement, c'est l'oubli des associations sur le sujet (…) Depuis la présentation du plan interministériel fin septembre, nous, associations (…), nous n'avons pas été concertées, il n'y a pas eu d'échanges. C'est regrettable, car on nous avait annoncé une nouvelle méthode de travail, une méthode de la concertation, avec des acteurs de terrain", explique Hugo Martinez, président de l'association Hugo, qui lutte contre le harcèlement scolaire, sur le plateau du 12/13 info, mardi 7 novembre. 

Des brigades anti-harcèlement scolaire 

30 millions d'euros seront consacrés à la création de brigades anti-harcèlement au sein des académies. Cependant, Hugo Martinez reste dubitatif sur cette mesure. "On ne sait pas de qui elles seront composées, quelles seront leurs modalités d'intervention, on n'en sait rien. Nous, associations, on est mis sur le côté aujourd'hui", déplore le jeune homme, qui a lui-même été victime de harcèlement scolaire.  

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