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Santé : “une mauvaise alimentation fera un mauvais corps qui aura tendance à avoir des maladies”, avance l’oncologue David Khayat.

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Le 19/20 info reçoit le Pr David Khayat. Il a écrit “L’ordonnance est dans votre assiette” aux éditions Plon. Il indique que le plus important pour être en bonne santé de faire attention à notre alimentation.
Santé : “une mauvaise alimentation fera un mauvais corps et aura tendance à avoir des maladies”, avance l’oncologue David Khayat. Le 19/20 info reçoit le Pr David Khayat. Il a écrit “L’ordonnance est dans votre assiette” aux éditions Plon. Il indique que le plus important pour être en bonne santé de faire attention à notre alimentation. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - J.Benedetto
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Le 19/20 info reçoit le Pr David Khayat. Il a écrit “L’ordonnance est dans votre assiette” aux éditions Plon. Il indique que le plus important pour être en bonne santé de faire attention à notre alimentation.

Notre santé dépend de notre assiette ? “Il est classique de dire que nous sommes ce que nous mangeons. Tous les jours de notre vie, nous fabriquons 110 millions de cellules. Nous les fabriquons avec les glucides, les lipides, les sels minéraux. Une mauvaise alimentation fera un mauvais corps qui aura tendance à avoir des maladies. Les maladies qui dominent sont les maladies non transmissibles comme le diabète, le cœur", précise David Khayat, oncologue.  

Un mauvais nutriscore en France 

Mais que préconiser ? “Ce que nous mangeons détermine notre état de santé. Le problème est qu’aujourd’hui, cela devient d’une telle complexité qu’il faudrait être diplômé de nutrition pour savoir quoi choisir (…) tous les Européens sont à la recherche d’indicateurs, de critères de consommation. En France, on a le nutriscore, mais il a un certain nombre de défauts”, poursuit l’oncologue. “Si vous prenez que du A ou du B, vous ne mangerez jamais un fromage, jamais de beurre alors qu’il y a des vitamines indispensables au développement. Il ne se base pas sur la vraie façon de manger, mais sur 100 grammes artificiels du produit”, conclut David Khayat.

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