Cet article date de plus de deux ans.

Coronavirus : la Cinéscénie du Puy-du-Fou accueillera 9 000 spectateurs le 15 août grâce à une dérogation

Les préfets peuvent désormais accorder des dérogations selon l'état de la circulation du coronavirus dans leur département. L'autorisation obtenue par le parc à thèmes n'est valable que pour samedi soir. 

Article rédigé par
Avec France Bleu Loire Océan - franceinfo
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min.
La Cinéscénie, spectacle nocturne du Puy du Fou, aux Epesses (Vendée), le 29 juillet 2020. (PHILIPPE ROY / AFP)

Le parc du Puy-du-Fou a obtenu une dérogation du préfet de Vendée pour pouvoir accueillir jusqu'à 9 000 spectateurs, samedi 15 août, lors de son spectacle nocturne de la Cinéscénie, rapporte France Bleu Loire Océan. Jusqu'à présent, le parc de loisirs devait respecter la jauge maximale de 5 000 personnes, en vigueur pour tous les événements organisés en France, dans le cadre des restrictions liées au Covid-19.

Des acteurs masqués

Le Puy-du-Fou bénéficie d'un assouplissement de la législation. Les préfets peuvent désormais accorder des dérogations selon l'état de la circulation du coronavirus dans leur département. Le masque sera obligatoire dès les parkings de la Cinéscénie pour toutes les personnes de plus de 11 ans et une dose de gel hydro-alcoolique sera distribuée à chaque visiteur. Les acteurs doivent également porter un masque.

Depuis la reprise des spectacles, début juillet, la tribune de la Cinéscénie, qui peut accueillir en temps normal jusqu'à 14 000 spectateurs, a été divisée en trois avec des parois en plexiglas de deux mètres de haut. Le Puy-du-Fou estimait ainsi pouvoir accueillir 5 000 personnes par tiers de tribune. C'est ainsi que 12 000 spectateurs avaient assisté à la première représentation, avant un rappel à l'ordre de la préfecture, demandant le respect du plafond de 5 000 spectateurs dans l'ensemble de la tribune.

Prolongez votre lecture autour de ce sujet

tout l'univers Travailler dans les métiers d'art, culture, édition

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.