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Coronavirus : "C’est au gouvernement d’assumer la responsabilité de l’obligation du port du masque", assure Yves Veyrier (FO)

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"C’est au gouvernement d’assumer la responsabilité de l’obligation du port du masque" : Yves Veyrier est l’invité des 4 Vérités
"C’est au gouvernement d’assumer la responsabilité de l’obligation du port du masque" : Yves Veyrier est l’invité des 4 Vérités "C’est au gouvernement d’assumer la responsabilité de l’obligation du port du masque" : Yves Veyrier est l’invité des 4 Vérités (FRANCE 2)
Article rédigé par France 2 - T. Curtet
France Télévisions

Le secrétaire général de Force ouvrière, Yves Veyrier, est l’invité des "4 Vérités" de France 2, lundi 17 août, à la veille de la réunion organisée par Elisabeth Borne avec les partenaires sociaux pour évoquer les règles sanitaires en entreprise.

Mardi 18 août, Elisabeth Borne, la ministre du Travail, va recevoir les partenaires sociaux, dont Force ouvrière, pour évoquer les règles sanitaires en entreprise. "La première question importante, c’est que, de notre point de vue, c’est au gouvernement de prescrire les dispositions d’ordre public. Nous, nous ne sommes ni médecins ni épidémiologistes. Si le port du masque doit être obligatoire pour se protéger du risque sanitaire, le gouvernement doit en assumer la responsabilité et nous dire dans quelles circonstances il doit être porté", estime Yves Veyrier, secrétaire général de Force ouvrière, invité des "4 Vérités" de France 2 lundi matin.

L’objectif d’un accord cadre sur le télétravail

"Il y aura également la question du coût de la prise en charge des masques, parce qu’il y a le travail et les transports pour se rendre au travail. Combien de masques faudra-t-il porter ? Qui va en prendre la charge ? Ça ne peut pas être les salariés", a poursuivi le responsable syndical. Au sujet du télétravail, Yves Veyrier a rappelé que durant le confinement, "ce n’était pas véritablement du télétravail". "Beaucoup de monde a travaillé d’un coup à domicile, mais sans que ça ait été préparé. (…) On pousse beaucoup à ce que les échanges que nous avons avec les employeurs sur cette question au niveau national débouche sur un accord cadre", conclut Yves Veyrier.

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