Avec 41 622 nouveaux cas de Covid-19, la France bat un nouveau record. Jeudi 22 octobre, pourtant, il est difficile de se situer par rapport à la première vague au printemps. “À la première vague, on n’avait pas de tests, donc on ne s’est pas rendu compte à quel point c’était catastrophique”, rappelle Damien Mascret, docteur et journaliste France Télévisions sur le plateau du 20 Heures.Des hospitalisations pour d’autres raisonsPourtant, au printemps, le taux était probablement plus important. “Mais ce qui est important aussi de regarder, c’est ce qui se passe en réanimation, puisque c’est un peu la fin de la chaîne”, ajoute-t-il. Lors de la première vague, des lits avaient été ouverts. “Aujourd’hui, on est dans une pente beaucoup plus douce, mais cette montée paraît inexorable (...) Pour le moment, les courbes ne fléchissent pas”, décrit le journaliste. Et d’ajouter que l’automne va s’accompagner d’hospitalisations pour d’autres raisons.