Discours de politique générale, affaire Abad et pouvoir d'achat... le "8h30 franceinfo" d'Aurélien Pradié
Le secrétaire général du parti Les Républicains était l'invité du 8h30 franceinfo du mercredi 6 juillet
Aurélien Pradié, secrétaire général du parti Les Républicains et député du Lot était l'invité du 8h30 franceinfo le mercredi 6 juillet, il répondait aux questions de Lorrain Sénéchal et Jean-Jérôme Bertolus.
Voter la motion de censure "n'aurait pas de sens"
"Ce que j'attends, c'est une méthode", a déclaré le secrétaire général du parti Les Républicains (LR), Aurélien Pradié à quelques heures du discours de politique de générale de la Première ministre. Concernant la motion de censure déposée par les députés de gauche, il explique que voter cette motion, "n'aurait pas de sens" car "dans une période compliquée, il faut des positions claires et simples. Je ne soutiens pas le gouvernement, je ne soutiens pas non plus le projet politique de la Nupes"
Damien Abad doit "rendre des comptes devant la justice"
"Je n'ai jamais reçu de signalements" à propos de Damien Abad, assure Aurélien Pradié, alors que l'ex-ministre des Solidarité est visé par une enquête pour "tentative de viol". "J’ai su que Damien Abad avait eu des propos déplacés avec une des collaboratrices de notre groupe politique. Cette femme-là a su se défendre face aux mots qui ont été prononcés." Aurélien Pradié se défend de n'avoir rien fait : "Le combat de la protection des femmes est mon combat depuis des années. J’ai découvert ces affaires dont il est accusé, maintenant c’est à lui de rendre des comptes devant la justice".
La déconjugalisation de l'allocation aux adultes handicapés, "une mesure de pouvoir d'achat"
Aurélien Pradié "propose" au gouvernement "d'intégrer" la déconjugalisation de l'allocation aux adultes handicapés (AAH) dans son projet de loi pouvoir d'achat. "Plus d'un million de nos concitoyens sont concernés" et c'est, selon lui "une mesure de justice sociale et une mesure de pouvoir d'achat", a assuré celui qui est aussi député du Lot, ce mercredi sur franceinfo. "Je dis : allez-y, nous vous suivrons'", a-t-il insisté.
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