Cet article date de plus de sept ans.

Présidentielle : l'amertume post-premier tour des perdants

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 1min
Présidentielle : l'amertume post-premier tour des perdants
Présidentielle : l'amertume post-premier tour des perdants Présidentielle : l'amertume post-premier tour des perdants (Franceinfo)
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions

Après les résultats de ce premier tour qui ont vu sortir comme grands gagnants Emmanuel Macron et Marine Le Pen, Franceinfo réunit les réactions amères des perdants.

Le premier tour de l'élection présidentielle a fait des "rageux", à commencer par la gauche. Jean-Luc Mélenchon, malgré un très bon score, ne donne pas de consigne de vote. "Je n'ai reçu aucun mandat des 450 000 personnes qui ont décidé de présenter ma candidature pour m'exprimer à leur place sur la suite", a assuré le candidat de la France insoumise.

Pas de pitié pour les perdants à droite

À droite, pas de pitié pour les perdants avec cette sortie d'Éric Woerth, chargé du projet présidentiel de François Fillon : "C'est pas la droite et le centre qui ont perdu, c'est François Fillon qui a perdu". Pour lui, ce sont les affaires qui ont plombé cette campagne. La palme de l'amertume revient à Renaud Muselier, vice-président du conseil régional en PACA. "Tirer un pénalty sans gardien et rater le but... C'est la présidentielle de Fillon", a-t-il écrit sur Twitter.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.