Présidentielle : la Seconde guerre mondiale s'invite dans la campagne
Sur le plateau du Soir 3, ce samedi 29 avril, Danielle Sportiello décrypte le déplacement d'Emmanuel Macron à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne).
Ce vendredi 28 avril, Emmanuel Macron effectuait un déplacement à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne). Ce village est devenu un symbole de la barbarie nazie, sa population qui a été décimée lors du massacre du 10 juin 1944. Ainsi, la Seconde guerre mondiale s'est invitée dans le duel Macron-Le Pen. "La phrase d'Emmanuel Macron, 'ne pas se souvenir c'est prendre le risque de répéter l'Histoire', prend tout son sens le jour où le président du FN par intérim est obligé de quitter son poste en raison de propos négationnistes qu'il aurait tenus par le passé", analyse Danielle Sportiello.
Des polémiques à répétition
Des propos qui renvoient au canal historique du Front national. "On pense évidemment aux propos de Jean-Marie Le Pen sur les chambres à gaz et le 'point de détail de l'Histoire'", rappelle la journaliste de France 3 avant de poursuivre : "On peut aussi citer le dernier dérapage de Jean-Marie Le Pen à propos de la cérémonie d'hommage au policier tué sur les Champs-Elysées".
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