Comme un symbole, c'est sur le tarmac de l'aéroport Jean-Paul II, l'un de ses prédécesseurs, que François a passé ses derniers instants en terre polonaise. Une fois en vol, le souverain pontife a longuement insisté sur son refus d'associer musulman et terroriste : "Identifier l'islam à la violence je crois que ce n'est pas juste, ce n'est pas vrai." Message d'espoir Dimanche 31 juillet, le premier pape sud-américain de l'histoire a béni la foule en espagnol, sa langue maternelle, avant de dire au revoir à Cracovie en polonais. C'est la fin de ces Journées mondiales de la jeunesse 2016, marquées par le deuil et la peine immense suscitée par l'assassinat du père Hamel. François a exhorté la jeunesse à croire en l'humain. Un message d'espoir que le pape devrait encore porter dans trois ans au Panama, qui accueillera la prochaine édition de ces JMJ.