Alain Juppé, le ministre des Affaires étrangères, a espéré lundi 19 décembre à Bordeaux "qu'un jour, le peuple de la Corée du Nord pourra[it] retrouver sa liberté" après la mort samedi du dirigeant Kim Jong-il, auquel succédera son fils, Kim Jong-un.Si la Chine a exprimé ses "profondes condoléances", Alain Juppé a dit ne pas partager cette tristesse : "La mort d'un homme, ce n'est jamais réjouissant, mais la souffrance d'un peuple m'attriste, c'est cela qui est important."