: Vidéo Centrafrique : trop tôt pour évoquer un risque d'enlisement, selon Fabius
"Personne de raisonnable ne peut dire qu'au bout d'un mois il y a un risque d'enlisement", a estimé le ministre des Affaires étrangères, sur France 2.
La présence des forces françaises en République centrafricaine va-t-elle s'éterniser ? "Personne de raisonnable ne peut dire qu'au bout d'un mois il y a un risque d'enlisement", a estimé le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, invité sur France 2. "La situation est difficile mais on ne doit certainement pas parler d'enlisement", avait-il déjà assuré, la veille, dans un entretien au Parisien.
Une chose est certaine, la France ne fait pas de zèle. La veille, le chef de la diplomatie française a confirmé que le pays n'enverrait pas de renforts en Centrafrique. "Nous maintiendrons notre contingent de 1 600 hommes", a répondu Laurent Fabius, interrogé sur une telle éventualité. "Il n'y aura pas d'engrenage", a également promis le ministre.
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