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Vidéo "On est sortis contre un pouvoir qui nous a volé nos rêves, notre liberté, notre dignité", dit une étudiante algérienne

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Le 22 février 2019, des milliers d'Algériens descendaient pour la première fois dans la rue contre le pouvoir en place. Un an après, Mériem Naït Lounis, étudiante, raconte l'état d'esprit dans lequel se trouve la jeunesse algérienne.
VIDEO. "On est sortis contre un pouvoir qui nous a volé nos rêves, notre liberté, notre dignité", dit une étudiante algérienne Le 22 février 2019, des milliers d'Algériens descendaient pour la première fois dans la rue contre le pouvoir en place. Un an après, Mériem Naït Lounis, étudiante, raconte l'état d'esprit dans lequel se trouve la jeunesse algérienne. (BRUT)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions

Le 22 février 2019, des milliers d'Algériens descendaient pour la première fois dans la rue contre le pouvoir en place. Un an après, Mériem Naït Lounis, étudiante, raconte l'état d'esprit dans lequel se trouve la jeunesse algérienne.

Mériem Naït Lounis, étudiante, était dans la rue le 22 février 2019, date à laquelle a débuté la révolution en Algérie. Un an plus tard jour pour jour, elle raconte dans quel état d'esprit se trouve l'essentiel des jeunes Algériens qui n'ont cessé de manifester depuis. "On a vécu une année pleine d'émotions, pleine d'amour, pleine d'espoir", confie Mériem.

On est sortis pour récupérer notre pays ce jour-là.

Mériem Naït Lounis

à Brut.

Après une année qu'elle qualifie de "mouvementée", la jeune étudiante n'en démord pas : la jeunesse algérienne est toujours aussi déterminée à continuer son combat. "On est prêts à passer notre vie dans la rue", fait valoir Mériem Naït Lounis avant de conclure : "Peu importe nos croyances, on est tous unis pour une Algérie meilleure, pour une Algérie libre."

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