Disparition de Lina : les recherches se poursuivent le long de l’itinéraire du ravisseur présumé

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Mercredi 7 août marque la deuxième journée de recherche en Haute-Saône, dans l'enquête sur la disparition de Lina, l'adolescente qui s'est volatilisée en septembre dernier. 90 gendarmes sont toujours mobilisés ainsi que des militaires spécialisés.
Disparition de Lina : les recherches se poursuivent le long de l’itinéraire du ravisseur présumé Mercredi 7 août marque la deuxième journée de recherche en Haute-Saône, dans l'enquête sur la disparition de Lina, l'adolescente qui s'est volatilisée en septembre dernier. 90 gendarmes sont toujours mobilisés ainsi que des militaires spécialisés. (France 2)
Article rédigé par France 2 - M. Delaunay, K. Prevost, S. Francesconi, F. Motila, R. Poirot, J. Siehr, F. Legros
France Télévisions
Mercredi 7 août marque la deuxième journée de recherche en Haute-Saône, dans l'enquête sur la disparition de Lina, l'adolescente qui s'est volatilisée en septembre dernier. 90 gendarmes sont toujours mobilisés ainsi que des militaires spécialisés.

À l’abri des regards, dans un massif boisé en Haute-Saône, près d’une centaine de gendarmes sont toujours à la recherche de Lina, 15 ans. Cette forêt reculée, en bordure d’un axe routier, est peu fréquentée mais connue des promeneurs, comme le confirment des habitants du village voisin.  

Des axes routiers peu fréquentés 

Comment expliquer que les recherches se concentrent à plus de 100 km du lieu de disparition de l’adolescente ? Les enquêteurs se basent sur les données de géolocalisation du véhicule du principal suspect. Le 23 septembre, Lina disparaît à Plaine (Bas-Rhin). La voiture poursuit sa route, marque un arrêt dans les Vosges où les fouilles n’ont rien donné. Elle s’arrête à Saulx (Haute-Saône), à quelques kilomètres de Besançon, commune d’origine du ravisseur présumé.  

Cet itinéraire aurait pu lui permettre d’échapper aux vidéosurveillances d’axes routiers plus empruntés. Aux abords de la zone de recherches, aucune caméra n’est présente. Grâce à des radars et à des chiens spécialisés, les enquêteurs espèrent trouver une réponse après plus de 10 mois d’enquête. 

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