Le copilote n'aurait pas dû travailler le jour du crash
Le profil psychologique d'Andreas Lubitz se précise, ce vendredi 27 mars. Dépressif, il aurait caché un arrêt maladie.
Les révélations autour du copilote de l'A320 n'en finissent pas de tomber. Alors qu'il a délibérément provoqué le crash de l'appareil, le mardi 24 mars, le journal Bild révèle que le jeune homme était un dépressif chronique.
Mais ce n'est pas tout. D'après les dernières informations de la justice allemande, il aurait dû être en arrêt maladie le jour du crash.
Pas de massage d'adieu
"Les enquêteurs allemands ont retrouvé au cours de leurs perquisitions au domicile d'Andreas Lubitz un certain nombre de documents médicaux, notamment des arrêts maladie déchirés qui indiquaient qu'Andreas Lubitz ne devait pas travailler le jour de la catastrophe", rapporte Amaury Guibert, l'envoyé spécial de France 2 à Berlin.
Autre information délivrée par les enquêteurs allemands, "aucun message d'adieu, aucun document n'a été retrouvé à son domicile pouvant expliquer le geste qu'il a commis à bord de cet Airbus A320".
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