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Emmanuel Macron, un premier quinquennat sous le signe de la contestation

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Emmanuel Macron, un premier quinquennat sous le signe de la contestation
Emmanuel Macron, un premier quinquennat sous le signe de la contestation Emmanuel Macron, un premier quinquennat sous le signe de la contestation
Article rédigé par franceinfo - A. C. Roth, L. Hauville
France Télévisions

Lors de son premier mandat, le président réélu a dû composer avec nombre de protestations, des gilets jaunes au confinement en passant par la crise des hôpitaux.

C’est la crise sociale qui aura ébranlé le premier quinquennat d’Emmanuel Macron. A l’automne 2018, les gilets jaunes investissent les ronds-points, manifestent contre la hausse du prix du carburant, les inégalités et la baisse du pouvoir d’achat. Certaines manifestations dégénèrent. Symbole, le saccage de l’Arc de triomphe. Des scènes de guérilla urbaine et parfois des violences policières. La situation est explosive. Pour éteindre l’incendie, le président de la République lâche du lest, annonce une série de mesures sociales et lance le grand débat pour renouer le dialogue avec les Français.  

Le confinement a tout calmé

Mais en décembre 2019, la réforme des retraites remet une partie de la France dans la rue. Le Premier ministre doit utiliser le 49.3 pour faire adopter sa réforme. Finalement c’est le Covid-19 et le confinement qui la stopperont. Le confinement, qui a ses héros : les soignants, auquel le gouvernement promet des revalorisations salariales. Pas suffisant pour éteindre la crise de l’hôpital public, qui aura perduré pendant tout le quinquennat.

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