Fait divers : vive émotion après le meurtre d’un contrôleur du fisc
Mercredi 23 novembre, les premiers éléments de l’enquête sur le meurtre de l’agent du fisc à Bullecourt semblent indiquer que l’homme aurait été tué à cause de son travail.
Mercredi 23 novembre, un hommage à l’agent du fisc qui a été assassiné a été rendu au ministère de l’Économie et des Finances ainsi que dans les centres de finances publiques. Le centre d’Arras (Pas-de-Calais) où travaillait l’homme restera fermé jusqu’à jeudi 24 novembre. "C’est vrai que c’est un choc, je présume que c’est pas la première fois il me semble que les agents publics soient menacés, insultés voir même assassinés", regrette un homme.
Vers une sécurité renforcée pour les inspecteurs
L’assassinat de cet agent des finances publiques a suscité une grande vague d’émotions. Aussi, il interroge sur la sécurité des inspecteurs des finances publiques. Les syndicats réclament plus de sécurité pour ces personnes. "On constate par rapport à la Covid, par rapport à l’inflation (…), par rapport aux difficultés que les usagers, les contribuables ont à payer leurs impôts, que ça se tend quand même de plus en plus", explique Fabrice Tavernier, secrétaire général de la CGT.
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