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Vidéo EuropaCity : Quand des lycéens mènent l'enquête sur ce projet colossal

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Durée de la vidéo : 3 min
Ces champs devaient laisser place à un immense parc de loisirs, avec même une piste de ski : EuropaCity. Alors ces lycéens ont enquêté auprès d'agriculteurs, d'habitants, d'élus et de promoteurs immobiliers sur le véritable impact d'un tel projet sur leurs vies. Jennyfer raconte.
VIDEO. EuropaCity : Quand des lycéens mènent l'enquête sur ce projet colossal Ces champs devaient laisser place à un immense parc de loisirs, avec même une piste de ski : EuropaCity. Alors ces lycéens ont enquêté auprès d'agriculteurs, d'habitants, d'élus et de promoteurs immobiliers sur le véritable impact d'un tel projet sur leurs vies. Jennyfer raconte. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions

Ces champs devaient laisser place à un immense parc de loisirs, avec même une piste de ski : EuropaCity. Alors ces lycéens ont enquêté auprès d'agriculteurs, d'habitants, d'élus et de promoteurs immobiliers sur le véritable impact d'un tel projet sur leurs vies. Jennyfer, ancienne lycénne et membre du projet, raconte.

"Ils essaient de faire un peu comme Dubaï et tout" Le documentaire "Douce France" raconte l'enquête menée par des lycéens en 2017 sur le projet contesté EuropaCity dans le triangle de Gonesse, dans le Val d'Oise (95). Parc d'attractions, parc aquatique, piste de ski... Le projet, abandonné en 2019, prévoyait d'investir le triangle de Gonesse, lieu réputé en Île-de-France pour ses terres particulièrement fertiles. Les lycéens ont rencontré des agriculteurs, des élus, des commerçants pour comprendre les enjeux économiques, environnementaux et sociaux de ce projet.

Remettre en questions les points de vue

Parmi ces lycéens membres du projet, Brut a rencontré Jennyfer. Au début, elle était plutôt favorable au projet. Une position qu'elle explique notamment par la présentation élogieuse d'EuropaCity que les élèves ont eue au départ. "La première fois que l'idée d'EuropaCity elle a nous a été présentée, elle nous a été présentée de manière superficielle", explique Jennyfer. Mais au fil des rencontres et en allant sur le terrain, la lycéenne a remis en question son point de vue. "Je me suis rendu compte qu'en fait, il pouvait y avoir autre chose", estime-t-elle.

Forte de son expérience, Jennyfer encourage les enseignants à s'impliquer davantage dans des projets participatifs comme celui-ci, la réalité des livres de géographie pouvant être perçue tout à fait autrement dans la réalité.

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