Colère des agriculteurs : "On aimerait être considérés à la juste valeur de notre métier et de l'agriculture", demande le vice-président des Jeunes agriculteurs

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Colère des agriculteurs : "On aimerait être considérés à la juste valeur de notre métier et de l'agriculture", le vice-président des Jeunes agriculteurs
Colère des agriculteurs : "On aimerait être considérés à la juste valeur de notre métier et de l'agriculture", le vice-président des Jeunes agriculteurs Colère des agriculteurs : "On aimerait être considérés à la juste valeur de notre métier et de l'agriculture", le vice-président des Jeunes agriculteurs (Franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - E. Tran Nguyen
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Les agriculteurs manifestent leur colère depuis quatre nuits d'affilée en bloquant l'A64. Rémi Dumas, vice-président des Jeunes agriculteurs, est l'invité du 12/13 info, lundi 22 janvier, pour expliquer ce mouvement de révolte.

Alors que le Premier ministre, Gabriel Attal, recevra dans la soirée du lundi 22 janvier des représentants des Jeunes agriculteurs et de la FNSEA, des actions seront menées toute la semaine en France. Pour Rémi Dumas, vice-président des Jeunes agriculteurs et invité du 12/13 info, "les actions ont commencé depuis bien longtemps". "Nous avons alerté les pouvoirs publics depuis des mois et des années sur la détresse du monde agricole", indique-t-il en dénonçant un "trop-plein normatif" et "un trop-plein de taxes".  

Les Jeunes agriculteurs veulent "vivre du fruit de leur travail" 

Rémi Dumas souhaite aujourd'hui de la part du gouvernement "des actes" et prévient "des blocages", estimant "ne pas être entendus, écoutés". "On n'est pas compris et on aimerait être considérés à la juste valeur de notre métier et de l'agriculture"expose-t-il. Les jeunes agriculteurs demandent de "vivre du fruit de leur travail", insiste Rémi Dumas.  

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