Voltige aériennes : acrobaties d'un spécialiste

Aujourd'hui, il a plus de 7000 heures de vol. Et lorsqu'il n'est pas en compétition, il enseigne.

Tu commences d'ici. Hop et on y va.

L'instant est théâtral. Avant le vol, chaque geste à accomplir en l'air est répété minutieusement au sol.

Grâce à cette petite danse au sol, on est déjà préparé, on se voit dans l'avion et ça nous permet d'être plus serein.

L'intérieur de l'avion est minimaliste. Tout est en carbone, léger et ultramaniable.

C'est un avion de compétition, de voltige. Il n'y a pas d'instrument de navigation. Dedans, il n'y a que du tube et une carrosserie légère.

Il faut être un bon pilote et une bonne résistance physique pour être un as de la voltige. Nous en avons fait l'expérience.

Je prends de la vitesse, on est à 250 km/h. A 350 km/h.

Cette alarme indique au pilote le nombre de "g" ressentis. 7 c'est peser 7 fois son poids, comme l'impression d'être écrasé au fond du fauteuil et de voir 36 chandelles.

On contracte les abdos. Alarme. C'est bon. On a pris 7 7!7!7!Ouf! Musique.

Nicolas Ivanoff enchaîne les acrobaties avec le sourire. Lors de son premier vol, il avait peur d'être malade.

Ce rappel, pour terminer. Un Français, Serge Lazarevic, est toujours officiellement retenu en otage en Afrique de l'Ouest. Voici son portrait. Nous ne l'oublions pas.

Merci de nous avoir suivis. Vos rendez-vous, "Parents mode d'emploi", la météo dé Philippe Verdier puis un téléfilm "La disparition". A 22H30, "La parenthèse inattendue" avec Frédéric Lopez. Demain à partir de 10H00, la rédaction est mobilisée pour vous faire vivre les commémorations de la victoire du 8 mai 1945. Edition spéciale à suivre en direct autour de Marie Drucker. On se quitte avec le temps des cerises. Je vous souhaite une très belle soirée.