Cet article date de plus de quatre ans.

Vidéo Covid-19 : formation de préleveurs, diffusion de tests antigéniques, Valérie Pécresse veut "gagner la bataille des tests"

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Article rédigé par franceinfo
Radio France

"Si on arrive à tester en temps réel, extrêmement rapidement, on pourra maintenir l'activité et l'enseignement", assure sur franceinfo la présidente de la région Île-de-France.

"Ce que je souhaiterais, c'est qu'on gagne la bataille des tests" de dépistage du Covid-19, a déclaré Valérie Pécresse, la présidente de la région Île-de-France vendredi 30 octobre sur franceinfo. "Si on arrive à tester en temps réel, extrêmement rapidement, on pourra maintenir l'activité et l'enseignement. Or, ce nouveau confinement ne peut pas être le même que le premier. On doit maintenir l'activité économique et l'enseignement au maximum", affirme-t-elle.

La région Île-de-France va former des préleveurs. "Nous allons former, avec l'accord de l'ARS, des secouristes pour pouvoir prélever, puis nous allons déployer, acheter, diffuser, des tests minute, qui viennent enfin d'être validés par les autorités sanitaires il y a quelques jours", a indiqué Valérie Pécresse. "Nous allons les déployer autour des cinquante plus grandes gares d'Île-de-France, mais aussi dans le rural."

D'ores et déjà, la région a fait circuler des bus de tests dans plus de cent villes. Nous allons continuer à les faire circuler, notamment en milieu rural.

Valérie Pécresse

à franceinfo

Valérie Pécresse annonce qu'elle souhaiterait distribuer 100 000 tests antigéniques dans les lycées "pour permettre aux enseignants, aux agents mais aussi aux élèves, sur autorisation des parents, de se faire tester en temps réel". Enfin, la présidente de la région Île-de-France annonce la mise en place d'une "grande opération" qui "devrait être menée pour les sans-abri, notamment les sans-abri des transports en commun, du métro, avec mise à l'abri. La région est prête à en prendre toute sa part."

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.