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Covid-19 : la quarantaine se termine pour un deuxième groupe de rapatriés de Wuhan en France

Vendredi, 181 personnes rapatriées de Wuhan, épicentre de l'épidémie de Covid-19, avaient déjà pu quitter le centre de vacances de Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône).

franceinfo avec AFP

France Télévisions

Publié le 16/02/2020 08:05 Mis à jour le 16/02/2020 10:27

Temps de lecture : 1min

Des Français rapatriés de Wuhan (Chine), placés en quarantaine en raison de l'épidémie de nouveau coronavirus, s'apprêtent à quitter le centre de vacances de Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône), le 14 février 2020.  (HECTOR RETAMAL / AFP) — Des Français rapatriés de Wuhan (Chine), placés en quarantaine en raison de l'épidémie de nouveau coronavirus, s'apprêtent à quitter le centre de vacances de Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône), le 14 février 2020. (HECTOR RETAMAL / AFP)

Ils recouvrent à leur tour la liberté. Après 14 jours de quarantaine, quelque 120 personnes évacuées de Wuhan (Chine) ont commencé à sortir du centre de vacances de Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône), près de Marseille, avec le soulagement de ne pas être contaminées par le nouveau coronavirus, a constaté une journaliste de l'AFP. Vers 7 heures du matin, une navette a quitté le centre et d'autres devaient la suivre dans la matinée. Au total, 44 personnes doivent encore quitter le centre de vacances, selon la préfecture des Bouches-du-Rhône.

Il s'agit de la deuxième vague de sortie du centre de vacances pour les rapatriés en France de Wuhan, l'épicentre de l'épidémie de Covid-19 en Chine. 181 personnes avaient déjà pu quitter Carry-le-Rouet vendredi.

Le centre de Carry-le-Rouet bientôt vide

Dans leur avion, 78 autres rapatriés – 19 Français et 59 ressortissants d'autres pays – avaient été placés en quarantaine dans un centre de formation des officiers de sapeurs-pompiers (Ensosp) à Aix-en-Provence. Ils doivent eux aussi quitter leur lieu de quarantaine dimanche.

Après les départs de dimanche, le centre de vacances de Carry-le-Rouet sera vide. "Personne n'était malade finalement, donc, oui, on va nettoyer et appliquer les procédures de désinfection mais comme à l'arrivée, pas plus", a précisé Marc Zyltman, chef du dispositif pour la Croix-Rouge.