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Les Français à nouveau libres de se déplacer en train ou en avion dès le 15 décembre, assure le ministre délégué aux Transports

Selon Jean-Baptiste Djebbari, 100% des trains seront disponibles et l'offre de billets d'avion, échangeables ou remboursables jusqu'au jour du départ, sera triplée par rapport à la période de confinement.

Article rédigé par franceinfo avec AFP
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Publié Mis à jour
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Des personnes portant un masque contre le Covid-19 dans une gare à Paris, le 8 septembre 2020. (MARTIN BERTRAND / HANS LUCAS / AFP)

"A partir du 15 décembre, le principe, c'est qu'on retrouve la liberté de circulation." Les Français pourront reprendre le train ou l'avion dès la levée du confinement, a affirmé, mardi 1er décembre, le ministre délégué aux Transports sur LCI. Jean-Baptiste Djebbari a expliqué qu'il n'y avait "aucun problème à réserver" un billet de train ou d'avion. "Vous aurez 100% des trains qui seront disponibles et les billets seront échangeables et remboursables jusqu'au jour du départ", a-t-il détaillé. Il a assuré que ce taux plein de disponibilité serait atteint pour les trains à Noël.

Le ministre délégué aux Transports a ajouté que l'offre de billets d'avion serait triplée par rapport à la période de confinement et les billets échangeables ou remboursables jusqu'au jour du départ. Pour les voyages dans les outre-mer ou à l'étranger, "le même principe s'applique", selon Jean-Baptiste Djebbari. Il reste tributaire des éventuelles mesures de quarantaine ou de test PCR exigé au départ ou à l'arrivée par tel ou tel pays.

Pas d'obligation de se faire vacciner

Le président Emmanuel Macron avait annoncé le 24 novembre que, si la situation sanitaire continuait à s'améliorer, le confinement serait levé le 15 décembre et que les Français pourraient se déplacer sans autorisation, y compris entre régions.

Interrogé sur le fait que la compagnie aérienne australienne Qantas a annoncé exiger des passagers qu'ils soient vaccinés contre le Covid-19, Jean-Baptiste Djebbari a estimé que la compagnie s'était exprimée "un peu vite" et qu'elle n'avait d'ailleurs "pas été soutenue par le gouvernement australien". "Ce n'est pas une compagnie aérienne ou un opérateur ferroviaire qui décide du caractère obligatoire ou non des vaccins, c'est bien les autorités sanitaires, gouvernementales", a-t-il insisté.

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