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Faire un disque tout seul : l'exemple de Louis Chedid

Après la sortie de "Deux fois l'infini", Bertrand Dicale revient sur ce qui pousse un chanteur à enregistrer un disque entièrement seul, comme McCartney ou Lou Reed jadis...
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
  (©)

 

Nos confrères du service culture de France Info ont dit sur cette antenne,
il y a une dizaine de jours, tout le bien qu'on peut penser de Deux fois
l'infini
, le nouvel album de Louis Chedid. Mais je voudrais juste qu'on
réfléchisse quelques instants à ce que signifie ce disque dans la carrière de
Chedid, parce qu'il a décidé de tout faire tout seul sur cet album. Il écrit
les textes, il compose, il chante, et il joue de tous les instruments –
guitare, piano, basse, batterie –, puis il mixe lui-même ses chansons. Tout,
tout seul. Enfin, il y a deux ou trois fois un acolyte qui est venu jouer un
tout petit peu d'un instrument bizarre ou régler un petit point de mixage mais,
pour l'essentiel,  cet album est
autarcique...

 

Dans cette chronique, vous entendez des
extraits de :

Scoop par
Louis Chedid (2013)

Maybe I'm Amazed par Paul McCartney (1970)

Metal Machine Music 2 par Lou Reed (1975)

Au bord de l'eau par De Palmas (2009)

Tu vas me manquer par Louis Chedid (2013)

Toutes mes excuses par Louis Chedid (2013)

Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique

Vous pouvez aussi retrouver sur le
site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série d'été
La Face cachée des
tubes.

Pendant le Tour de France, nous vous
avons proposé, en vingt-trois épisodes, la chronique Ces chansons qui
font le Tour
.

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