Mobilisation en ligne contre la vidéo d'EI
Que retenir de l'actualité connectée du jour ? Chaque soir, France Info vous fait son résumé.
#IsisMediaBlackout
C'est l'un des hashtags qui montent. Depuis la révélation par les militants de l'Etat Islamique de la vidéo de l'exécution du journaliste américain James Foley, hier, les internautes se mobilisent de ces images épouvantables. YouTube a rapidement retiré la vidéo, malheureusement de nombreuses captures d'écran continuent à circuler. Twitter, de son côté, applique sa nouvelle politique concernant les images de personnes décédées, et retire de nombreux comptes les ayant relayées.
4,5 millions de données dérobées
Pas une semaine ne passe sans que l'on ait à déplorer une attaque de ce genre. Cette fois-ci, c'est l'entreprise américaine Community Health Systems, deuxième entreprise du secteur aux USA, qui en est la victime. Les données de 4,5 millions de ses clients (numéros de sécurité sociale, adresses, identités) ont été dérobées entre avril et juin dernier. Les autorités soupçonnent un groupe de hackers chinois opérant depuis plusieurs années.
Apple grimpe en Bourse
Bonne forme pour la marque à la pomme sur les marchés américains: hier soir, à la fermeture, l'action Apple a dépassé les 100 dollars, et sa capitalisation boursière a atteint les 600 milliards de dollars, pas très loin de son record de septembre 2012 à 665 milliards de dollars. La raison de cet engouement, c'est bien évidemment l'excitation suscitée par l'annonce prochaine de ses nouveautés, prévue pour début septembre. L'iPhone 6 et l'iWatch font partie des produits phares, très attendus.
Les excès numériques de la police britannique
"Attention à ce que vous postez en ligne ". C'est en substance ce que les dirigeants de la police britannique ont tenté de faire comprendre à leurs agents, alors que nos confrères de la presse anglaise dévoilaient aujourdh'ui des chiffres étonnants: plus de 800 enquêtes internes ont été ouvertes au cours des cinq dernières années, concernant le comportement numérique des policiers, notamment sur les réseaux sociaux. Près de 70 fonctionnaires ont du quitter leurs postes suites à ces enquêtes.
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