"Na Na Hey Hey (Kiss Him Goodbye)", le tube des patinoires
Chers amateurs de hockey
sur glace, voici l’ambiance de la patinoire. Aujourd’hui 28 décembre, c’est la
finale de la coupe de la Ligue à Méribel et on va chanter, évidemment, Na
Na Hey Hey Kiss Him Goodbye .
En France comme aux
Etats-Unis et au Canada, les fêtes de fin d’année sont l’occasion de multiplier
les matches pour le plaisir des familles qui communient régulièrement en
chantant ce tube des tubes des patinoires, mais aussi, maintenant, des matches
de foot, de rugby, de basket, des enterrements de vie de garçon et des mariages
réussis.
D’ailleurs, c’est un
des tubes les plus immuables du patrimoine mondial des musiques populaires et
conviviales , au point d’ailleurs que, de version en version, on n’a pas
vraiment l’impression de sentir ici ou là la patte personnel de tel ou tel
artiste.
Les chansons de la chronique d’aujourd’hui : Na Na Hey hey (Kiss Him Goodbye) par
Crazy Frog (2006), Na Na Hey hey (Kiss
Him Goodbye) par Bananarama (1983), Na
Na Hey hey (Kiss Him Goodbye) par The Nylons (1987), Na Na Hey hey (Kiss Him Goodbye) par The Pioneers (1971), Na Na Hey hey (Kiss Him Goodbye) par
Steam (1969), Na Na Hey hey (Kiss Him
Goodbye) par Liberace (1969).
Vous pouvez également
suivre l'actualité de cette chronique
Le livre qui accompagnait notre
chronique de cet été, Les chansons
qui ont tout changé , est sur le kiosque de Radio-France et
en librairie avec sa cinquantaine
d'histoires de chansons historiques, de Ne
me quitte pas de Jacques Brel à Didi
de Khaled, de Rock Around the Clock
par Bill Haley à Mignonne allons voir si la
rose ...
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.