Cet article date de plus de douze ans.

Le téléphone, presque un siècle de chansons

Comment la chanson s'est-elle emparée des ressources dramaturgiques offertes par le téléphone ?
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min
  (©)

Le téléphone, nous en avons abondamment parlé cette semaine sur France
Info, à la suite de l’annonce de l’offre de l’opérateur Free pour le téléphone
mobile – une révolution, lit-on ici ou là.

Mais, s’il faut parler de révolution, le téléphone en a connu un
certain nombre, en plus d’un siècle, et dont la chanson se fait abondamment
le témoin
.

Et pas seulement la chanson, d’ailleurs. Les compositeurs savants ont
été fascinés par cet outil, comme ils l’ont été par l’automobile, par le jazz
ou par les fusées. Et le jazz, comme toutes les musiques populaires dans le
monde, a usé des ressorts dramaturgiques extraordinaires de cet outil…

Les chansons de la chronique d’aujourd’hui : J’ai le téléphone par Boucot (1916), Duo du téléphone dans Les Aventures du roi
Pausole
d’Arthur Honegger par Mattjis
van de Woerd et Simone Riksman (1930, enregistré en 2008), Allô chéri, si on coupe dans La Voix humaine de Francis
Poulenc par Felicity Lott* (1958, enregistré en 2001), Allô chérie par Polaire et Marjal (1917), Le Duo du téléphone par Jean
Sablon (1930),
La Complainte du
téléphone par Juliette Gréco (1957),
Si tu me téléphones par Johnny Hallyday (1961), Téléphone par Il était une fois (1974), Le téléphone pleure par Claude
François (1974),
Le Téléphone par Elli et Jacno (1984), Prisonnier du portable par Zêdess (2008), Busy Line * par Rose Murphy (1948).

Vous pouvez également
suivre l'actualité de cette chronique

Le livre qui accompagnait notre
chronique de cet été, Les chansons
qui ont tout changé
, est sur le kiosque de Radio-France et
en librairie avec sa cinquantaine
d'histoires de chansons historiques, de Ne
me quitte pas
de Jacques Brel à Didi
de Khaled, de Rock Around the Clock
par Bill Haley à Mignonne allons voir si la
rose
...

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