Quand la chanson rêve d'hériter d'une fortune
Vouloir hériter est un désir que partagent beaucoup de nos contemporains, ce qui suscite des scènes particulièrement pittoresques de partage dans maintes chansons.
Dans le premier épisode de cette chronique, vous entendez des extraits de :
Monsieur est mort par Charles Aznavour (1961)
Tonton Cristobal est revenu par Pierre Perret (1967)
Les Mémoires d’une table par Maxime Le Forestier (1978)
L’Héritage infernal par Charles Trenet (1943)
L’Héritage par Félix Leclerc (1959)
Mon bon vieux phono par Bourvil (1957)
Mets ta main dans la main par Nana Mouskouri (1971)
Héritiers de la rue par Mo’vez Lang (1999)
Ton héritage par Benjamin Biolay (2009)
Les héritiers potentiels sont parfois d’une féroce impatience en attendant que le magot leur parvienne. Une figure classique de la comédie humaine et de la chanson.
Dans le second épisode de cette chronique, vous entendez des extraits de :
Je cherche après Titine par Francis Lemarque (1917, enregistrement de 1992)
Ces gens-là par Jacques Brel (1966)
C’est pour demain par Georgius (1939)
Dans la vie faut pas s’en faire par Maurice Chevalier (1921)
Un été caniculaire par Monsieur Roux (2009)
C’est pas la vie qu’j’avais rêvée par Pierre Perret (1983)
Nny par Loïc Lantoine (2006)
Le Testament par Léo Ferré (1969)
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez aussi retrouver sur le site de France Info les quarante-neuf épisodes de notre série d’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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