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La mélancolique chanson de l'exil

Avoir quitté son pays inspire des couplets bouleversants, mais aussi s'être trouvé une nouvelle terre où vivre en paix...
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (La vie de celui qui a quitté son pays natal pour toujours inspire beaucoup de chansons. © MAXPPP)

Depuis le psaume 137 qui raconte comment les Hébreux déportés à Babylone peinent à chanter les cantiques du pays qu’ils ont quitté, la culture occidentale se penche très souvent sur les souffrances et les nostalgies de l’exilé. Et notre chanson s’intéresse aussi aux sentiments de l’immigré sur le sol de France.

 

 

Dans le second épisode de cette chronique diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :

 

 

Ensemble Claude Goudimel, Psaume 137, 1994

The Melodians, Rivers of Babylon, 1969

Marc Robine, L'Exil , 1997

Herbert Pagani, Les Gens de nulle part , 1977

Alain Souchon, C'est déjà ça , 1993

Enrico Macias, Toi Paris tu m'as pris dans tes bras , 1964

 

 

 

Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique

Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.

Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.

Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.

Professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire. 

 

 

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