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La chanson du migrant

Tandis que la crise humanitaire et politique se poursuit, écoutons la manière dont la chanson évoque le sort de tous ceux qui quittent leur pays pour toujours.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (Par la mer et par la terre, des centaines de milliers de migrants ont afflué vers l'Europe au cours des derniers mois. © REUTERS / Bernadett Szabo)

 Rester, partir, sauver sa peau, risquer sa vie, espérer, c’est toute l’histoire de centaines de milliers de désespérés au cœur de la terrible crise des migrants. La chanson ne parle pas de chiffres, ne parle pas toujours de grands principes, elle observe chacun de ces migrants, un à un. Elle cherche à comprendre pourquoi et comment on part, cherche à mesurer les dangers autant que les espoirs, que le départ soit une émigration, une expatriation, une fuite, un exil…

 

 

Dans le premier épisode de cette chronique ce week-end, vous entendez des extraits de :

 

Renée Lebas, L'Exil, 1943

Bernard Lavilliers, L'Exilé , 2010

Juliette, Aller sans retour, 2008

Jean-Jacques Goldman, Là-bas , 1987

Gérard Manset, Avant l'exil , 1990

Enrico Macias, Adieu mon pays , 1962

Julien Clerc, Réfugié , 2005

Juliette, Aller sans retour , 2008

 

 

Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.

Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.

Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.

Professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire. 

 

 

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