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Vacances de février : "À ce stade, on peut s'organiser" en privilégiant "la vigilance", déclare Jean-Baptiste Lemoyne

Pour le secrétaire d’État chargé du Tourisme, "il est possible de réserver" pour les vacances de février "mais il faut faire preuve de prudence dans ces déplacements".

Article rédigé par franceinfo
Radio France
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Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d'Etat chargé du Tourisme, des Français de l'étranger et de la Francophonie. (FRANCEINFO / RADIO FRANCE)

Le Covid-19 reste très menaçant, et avec les variants, les Français se demandent s'ils vont pouvoir partir en vacances en février. "À ce stade la réponse est oui", a déclaré mardi 2 février sur franceinfo Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’État chargé du Tourisme, des Français de l’étranger de la Francophonie. "Nous n'avons pas mis de restrictions aux déplacements interrégionaux", précise-t-il.

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"Pour les vacances qui commencent, à ce stade, on peut s'organiser, explique le secrétaire d’État chargé du Tourisme. Il est possible de réserver mais il faut faire preuve de prudence, de vigilance dans ces déplacements. C'est le pari de la confiance et de la responsabilité qu'a fait le président de la République vendredi dernier".

"Pouvoir s'oxygéner, c'est important"

Les vacances sont "un moment familial, explique Jean-Baptiste Lemoyne. On se retrouve en famille, avec les enfants. Dans les temps qu'on vit, pouvoir s'oxygéner c'est important." Le secrétaire d'État explique que "si on va voir les grands-parents" il faut "se tester avant, et continuer à appliquer les gestes barrières." Face à l'incertitude les acteurs du tourisme "ont été nombreux à mettre en place des politiques commerciales souples pour annuler, rembourser, décaler, facilement", affirme-t-il.

On vit avec l'inattendu, le virus ne prévient jamais de où et quand il frappe et à quelle ampleur.

Jean-Baptiste Lemoyne

à franceinfo

Le variant anglais représente entre 15% et 20% des cas de contaminations en Ile-de-France. "Le gouvernement reste vigilant sur l'évolution de la pandémie. Si on voit que les chiffres s'affolent on sera amenés, peut-être, à prendre des décisions", conclut Jean-Baptiste Lemoyne.

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