Irlande : une attaque au couteau provoque des émeutes à Dublin

Publié
Durée de la vidéo : 1 min
Dublin a été frappée par des émeutes, dans la soirée du jeudi 23 novembre, à la suite d'une attaque au couteau dans la capitale irlandaise dans l'après-midi. Ces heurts, attribués à des hooligans d'extrême droite, sont liés à des rumeurs sur l'origine de l'assaillant.
Irlande : une attaque au couteau provoque des émeutes à Dublin Dublin a été frappée par des émeutes, dans la soirée du jeudi 23 novembre, à la suite d'une attaque au couteau dans la capitale irlandaise dans l'après-midi. Ces heurts, attribués à des hooligans d'extrême droite, sont liés à des rumeurs sur l'origine de l'assaillant. (Franceinfo)
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
franceinfo
Dublin a été frappée par des émeutes, dans la soirée du jeudi 23 novembre, à la suite d'une attaque au couteau dans la capitale irlandaise dans l'après-midi. Ces heurts, attribués à des hooligans d'extrême droite, sont liés à des rumeurs sur l'origine de l'assaillant.

Dublin (Irlande) a connu des scènes de chaos, dans la soirée du jeudi 23 novembre. Un bus a notamment été incendié, et des magasins ont été pillés. Dès 19h, plusieurs centaines de personnes sont descendues dans la rue pour manifester après une attaque au couteau qui avait eu lieu quelques heures plus tôt. Très vite, des heurts ont éclaté dans un quartier où vit notamment une population immigrée. "Nous avons une faction de hooligans complètement fous, animés par une idéologie d'extrême droite. Cette tendance perturbatrice s'engage dans de graves violences", a déclaré un responsable de la police irlandaise.

Tout motif terroriste écarté pour l'attaque au couteau

Ces violences sont liées à des rumeurs sur l'origine de l'homme qui a agressé en début d'après-midi cinq personnes au couteau. Une fillette de cinq ans et une femme ont été gravement blessées. L'agresseur présumé, âgé d'une cinquantaine d'années, a été arrêté. Selon les enquêteurs, son geste serait isolé, écartant tout motif terroriste.  

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.